Nouveau coup de projecteur sur une jeune artiste de talent à la fois douce et pugnace. Soul sensuelle, rap sensible…
La voix nous caresse, les mots nous griffent : Nirina Lune sait créer le frisson. Dans ce premier titre, en mêlant les émotions du hip hop et de la soul, la chanteuse injecte sa mixture pour nous guérir de l’amour qui fait mal. Dans un visuel langoureux et hypnotique, co-réalisé avec Barbara John, Nirina Lune émerge la rose au poing. Sur le battement du kick, les plans sensuels se succèdent au rythme des nappes vocales et électroniques.
La musique, écrite par Nirina Lune et co-produite avec des musiciens et beatmakers (Pehoz, Thomas David, Nicolas Bauer), hybride avec grâce les influences de la chanteuse. Tantôt envoûtante et percutante, alternant chant mélancolique et punchlines érotiques, elle est une storytelleuse à fleur de peau. Entre ciel et mer. Entre Lauryn Hill et Gainsbourg.
Ce premier titre est l’avant goût d’un EP 5 titres qui sortira à l’automne et qui mélangera les genres : soul, hip hop, future beats, et sonorités expérimentales. Un EP-fiction qui explore les facettes du pouvoir féminin et les fantasmes amoureux d’une fille de Vénus. Comme les déesses contemporaines dont elle s’inspire (FKA Twigs, Sevdaliza), Nirina Lune aime raconter des histoires : à ne pas manquer sur scène le 24 octobre à L’International.
